Lors de la COP26 à Glasgow, les représentants des grands acteurs de la finance avaient pris fait et cause en faveur des énergies renouvelables. L'argent à l'époque peu cher avait vocation à inonder ce nouveau créneau, le temps était aux investissements environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
Pour la deuxième semaine consécutive, les rendements gouvernementaux ont baissé et les marchés du crédit aux entreprises ont généré des performances positives. Les marchés émergents (EM), quant à eux, ont surperformé, grâce à un rebond du marché du crédit asiatique...
Nous pensons que l'impact du climat sur les performances des actifs n'est pas encore pris en compte
et qu'il va s'intensifier au fil du temps. Explications de Peter van der Welle, Stratégiste Multi-Actifs chez Robeco.
Les marchés poursuivent leur normalisation cette semaine, entre réouverture du marché primaire, resserrement et re-hiérarchisation des primes de crédit excessives. Dans ce contexte, une nouvelle émission est venue nous rappeler que la finance purement quantitative et les modèles de prévision des rendements et des évènements basés sur la simple observation des rendements actuels ne fonctionnent pas toujours, pour ne pas dire rarement.
Le ralentissement économique mondial, les pressions inflationnistes, la
hausse des taux d'intérêt et le renchérissement du dollar font figure de
défis pour les marchés émergents. Il est toutefois essentiel de distinguer des disparités : les économies les plus dépendantes des exportations sont les plus fragilisées...