Par rapport aux obligations, les actions américaines sont aussi surévaluées qu'elles l'étaient en 2003 et 2009. À l'époque, les deux classes d'actifs étaient bon marché. Il est difficile d'affirmer que c'est à nouveau le cas aujourd'hui.
Jeremiah Buckley, gérant de portefeuille chez Janus Henderson examine l'attrait des actions américaines dans un contexte d'incertitude économique et géopolitique, caractérisé par des pressions inflationnistes persistantes.
Nous maintenons notre opinion constructive sur les actions chinoises malgré les performances tièdes du marché depuis début 2023 à aujourd'hui, car les décideurs politiques chinois visent à renforcer la confiance du marché grâce à des mesures plus favorables axées sur l'expansion de la demande intérieure et la lutte contre les risques clés.
Malgré un segment Small Caps en hausse depuis le début de l'année (+7,95% YTD pour le MSCI EMU Small Cap Net Return au 20 septembre), l'écart de valorisation entre les Small Caps (capitalisations inférieures à 2 milliards
d'euros) et les Large Caps (capitalisations supérieures à 8 milliards d'euros) a atteint son plus haut niveau depuis deux décennies...
Les entreprises restent le plus grand acheteur net d'actions américaines. Il s'agit là d'un soutien unique du marché, le reste du monde préférant les dividendes, et qui en surprend plus d'un. Le nombre de rachats d'actions de l'indice S&P 500 diminue de manière cyclique, mais il reste énorme...