L’analyse de données historiques remontant à 1919 montre qu’à une variation d’un point du taux d’intérêt à long terme sur un mois, correspond effectivement une variation de -2,0% du marché actions. Si l’on enlève les 20% de variations les plus extrêmes, l’impact est de -3,6%, et est significatif au sens statistique.