Pour la première fois depuis 2011, l’immobilier coté européen a enregistré en 2018 une performance négative sous l’effet combiné du recul des marchés d’actions, particulièrement accentué sur les petites et moyennes valeurs, et de l’incertitude des investisseurs sur les taux de marché liée à l’intention des banques centrales d’arrêter progressivement les injections de liquidités dans l’économie.