L'activité économique en Europe a positivement surpris ces derniers mois, nous incitant à réviser à la hausse nos prévisions de croissance du PIB pour la Suisse et le Royaume-Uni cette année. Nous anticipons une expansion en Europe au cours des prochains trimestres, bien que son rythme reste probablement modeste.
Alors que les réactions de marchés étaient relativement contrôlées en début de semaine, le stress est monté en intensité ces derniers jours sur les différents marchés.
Alors que les membres du FOMC semblent totalement perdus quant à la politique monétaire à suivre et se raccrochent à la sacro-sainte « data dependence » pour justifier leurs actions et leurs volte-face, la publication, la semaine passée, du PIB et de l'inflation aux États-Unis pour le premier trimestre ne va pas arranger la situation...
Les marchés ouvrent en hausse et les taux montent tandis que les investisseurs restent attentifs aux discours des banquiers centraux… Les marchés ouvrent en baisse et les taux montent tandis que les investisseurs restent attentifs aux discours des banquiers centraux…
Il y a un facteur qu'on omet souvent de mentionner pour expliquer la surperformance de l'économie américaine par rapport au reste du monde. En un temps record, les États-Unis ont non seulement réussi le pari de l'indépendance énergétique mais ils produisent plus de pétrole que n'importe quel autre pays au cours de l'Histoire – même plus que l'Arabie Saoudite.