Au cours du premier trimestre, la faiblesse du dollar américain fut l'un des principaux marqueurs du marché des changes. Celle-ci a toutes les chances de continuer après la réunion du FOMC de ce soir. Comme prévu, le taux directeur principal a été porté dans la borne comprise entre 5,00-5,25 % (c'était prévu par 85 % des opérateurs).
La récente phrase choc d'Emmanuel Macron sur une nécessaire indépendance vis-à-vis des États-Unis se heurte à une réalité : la suprématie du dollar. La puissance du billet vert conforte la position dominante des États-Unis. Dans ce contexte, peut-on envisager une “dédollarisation” du monde ?
L'euro est à son plus haut niveau depuis avril 2022. L'euro a gagné près de 10 % par rapport au dollar au cours des trois derniers mois. Comment expliquer la situation et à quoi s'attendre ?
Le dilemme de la BoJ face à la volatilité du yen : maintenir la politique ultra-accommodante en anticipant une baisse de l'inflation ou ajuster sa politique en risquant d'affaiblir la trajectoire économique du pays ?
Toutes les monnaies principales sont en baisse face au dollar américain depuis le début de l'année, à l'exception de trois (le rouble russe, le real brésilien et le peso mexicain). L'euro s'est déprécié de 15 % depuis janvier.